Les statistiques de la délinquance peuvent-elles être prises au sérieux ?
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1/ Les statistiques policières et judiciaires sur la délinquance en sous-estiment certains aspects tout en surévaluant la rapidité d'évolution de catégories d'actes particulières
a) Pourquoi les statistiques de la police et de la justice sous-estiment le nombre de certains actes de délinquance ?
b) Pourquoi les statistiques de la police et de la justice peuvent surestimer la hausse de certains types de délinquance ?
2/ Cependant les enquêtes de victimation apportent un complément utile qui permet de mieux cerner le phénomène, en dépit de leurs propres limites
a) Quelle est l'utilité des enquêtes de victimation pour approcher le chiffre noir de la délinquance ?
b) Quelles sont les limites des enquêtes de victimation elles-même ?